Galibot » est un terme spécifique qui désignait les enfants porteurs de lampes descendant dans la mine. Aujourd'hui encore, dans d'autres mines, des enfants meurent pour que nous puissions jouir de nos téléphones portables.
Jean est mineur, mais il aurait pu être travailleur dans la construction du métro de Bruxelles, il aurait pu être wallon, italien, polonais, ou maghrébin, ou appartenir à l’une de ces nombreuses nationalités qui sont venues travailler et se chercher une vie chez nous, et qui l’ont sacrifiée, cette vie, pour notre bien ou notre confort.
« Mais que l’on ne s’y trompe pas, on n’assiste pas à un spectacle larmoyant sur le sujet car la force de combattre de Jean reste l’humour, arme redoutable contre l’adversité. »
C’est avant tout, un être plein de vie, d’humour, de générosité, d’amour, qui nous montre que l’espoir se trouve vers l’avant, vers le futur, et pas dans le regard vers le passé. Il est une leçon de vie.
Le caractère principal de Jean, c’est son besoin, et son envie de vivre avec les autres, de rire, et de faire la fête.
« Bien sûr, on est ému mais on rit souvent. »
Michel N’Diay
Avec le soutien de Nostalgie
Le soutien et l’aide du « Bois du Cazier », asbl, patrimoine de l’Unesco
https://www.galibotproductions.be