Celles qui font le design #3 - Lumière

Par Maak & Transmettre

Faire venir le jour dans nos espaces avec Apolline Couverchel et Juliette Bibasse

Date et heure

Lieu

Rue Darwin 15

15 Rue Darwin 1050 Forest Belgium

Good to know

Highlights

2 hours
In person

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À propos de cet évènement

Apolline Couverchel - Designeuse et Artiste, co-fondatrice du studio Élémentaires

Elle cofonde ce studio avec Gauthier Haziza en 2013. Ensemble, iels explorent le mouvement, la lumière et le geste pour créer des objets lumineux cinétiques. Elle partage également son approche à travers l’enseignement et la transmission dans plusieurs écoles.

Juliette Bibasse - curatrice, productrice et co-fondatrice de SALOON Brussels

Commissaire indépendante et directrice de production du Studio Joanie Lemercier, elle cofonde Solar Lab, un projet de recherche artistique sur les énergies renouvelables appliquées à la création. Elle accompagne des artistes et festivals dans le champ des arts numériques.

Darwin 15 rue Darwin 15, 1050 Bruxelles

Tram 92 Darwin
Tram 4/10 Berkendael
Bus 60 Georges Brugmann

Un code promotionnel* a été généré pour : Les étudiantx / Les chômeur.euses/ CPAS /Les personnes à mobilité réduite

*Un justificatif vous sera demandé à l'entrée avec votre billet code promotionnel : cqfld_lumiere

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - commission Arts Plastiques, de la Loterie Nationale ainsi que l'Ambassade de France et l'Institut Français « France Belgique Culture ».

Organisé par

Maak & Transmettre

CELLES QUI FONT LE DESIGN, c’est la mise en lumière de personnalités féminines et non-binaires qui travaillent dans ce domaine. Force est de constater qu’aujourd’hui les femmes sont sous-représentées de manière générale et notamment dans le milieu des arts et du design. La citation de Helen Molesworth fait d’ailleurs complètement résonance avec la situation dans laquelle nous évoluons encore aujourd’hui :

« Être artiste et femme, c’est parfois faire l’expérience de se retrouver orphelines de mère.s et découvrir qu’il faut partir à leur recherche - afin de ne pas céder sous le joug de l’imposante paternité artistique - pour finalement développer une pléiade d’affinités sororales. »

Nous nous sommes effectivement posé la question : Où sont ces femmes que l’on ne voit ni dans les livres d’histoires, ni dans les médias, ni dans l’enseignement de nos pratiques ?

8 €

oct. 1 · 19:00 GMT+2